Glossaire
A-B
- ADMINISTRATEUR
Cet utilisateur a tous les droits sur le logiciel et son paramétrage. Un responsable maintenance ou un technicien de maintenance prendra ce rôle. Nous avons 1 seul compte, mais le logiciel acceptant les connexions multiples, on peut se connecter avec plusieurs administrateurs.
- Arduino
Micro-contrôleur
- Arrêts identifiés (AI)
Il existe différentes causes d'arrêt généralement identifiées (AI) qui réduisent le temps d'ouverture en temps de fonctionnement :
- les pannes,
- les changements d'outils,
- les réglages
- les attentes diverses (valeur, contrôle, matière, ...),
- la maintenance préventive,
- le contrôle qualité,
- les passations de consignes,
- les pauses
- les délégations
C
- Cause de non qualité (5M)
Elles sont liées à la matière première (homogénéité, conditions de stockage), à la machine (déréglages, usure d'outil, défaillances), à la main d'oeuvre (agent de production), aux méthodes de production et au milieu environnant.
On parle alors des 5M (matière, machine, main d'oeuvre, milieu, méthode)
- cellule active
La notion de cellule active est très importante, activer une cellule veut dire cliquer à l'intérieur d'une cellule pour en modifier son contenu, ou lui appliquer une commande.
- Coût de Stockage Maintenance (CSM)
Dans le cadre de la gestion des stocks, on doit minimiser les frais de gestion qui sont la somme de deux termes qui varient en sens opposé :
le coût annuel de passation des commandes (Cadm) qui est proportionnel au nombre des commandes d'approvisionnement passées dans l'année.
le coût annuel de possession du stock (Cpos) qui est d'autant plus bas que l'on passe davantage de commandes d'approvisionnement dans l'année.
Cges = Cadm + Cpos
Attention : Le coût d'achat des pièces (Pu) n'est pas intégré. L'optimisation des approvisionnements est étudié à Pu constant.
- Coût Défaillance Maintenance (CDM)
Coût Indirect
Le Coût Défaillance Maintenance est qualifié de Coût indirect car il représente la manque à gagner suite à une défaillance
Il exprime les conséquences induites par les défaillances :
Frais variables non réincorporés (personnel de fabrication en attente, matière perdue, etc.)
Marge bénéficiaire perdue
Perte de confiance du client, et perte possible du client
Très difficile à calculer dans la réalité lorsque l'entreprise ne fabrique pas en continu ou ne vends pas systématiquement tout ce qu'elle produit
- Coût des Interventions Maintenance (CIM)
Coût Indirect
Coût direct de l'intervention ou coût des prestations liées à la remise en état de l'équipement
Main d'oeuvre (CMO = TMO * TxMO)
Pièces détachées hors consommables (CPI)
Achats directs (CACH)
Sous-traitance (régie, forfait, ...) (CST)
Frais de structure (bâtiment, bureaux, outillage, énergie, consommables) : peut-être ramené à un taux horaire moyen ajouté au taux horaire de la MO pour simplifier
- Coût Global Maintenance (CGM)
CIM : Coût des Interventions Maintenance (Direct)+
CDM : Coût Défaillance Maintenance (Indirect) +
CSM : Coût Stockage Maintenance +
ASM : Amortissement des surinvestissements Maintenance
Chacun des trois premiers éléments est en relation avec les deux autres. Rechercher à diminuer le CGM passe par la définition d'une politique de maintenance dont le rôle est de définir les actions prioritaires à mener.
D
- Défaillance
La défaillance (failure) est l'altération (défaillance partielle) ou la cessation (panne) d'un bien à accomplir la fonction requise.
Le diagnostic débute par le constat de la défaillance : mode de défaillance.
Le diagnostic se termine par l'identification de toutes les causes antérieures à l'effet constaté (mode)
- Défaillance (Cause)
Circonstances liées à la conception, fabrication ou à l'emploi, et qui ont entraîné une défaillance que l'on observe par le mode de défaillance.
- Faiblesse inhérente : lorsque les contraintes ne dépassent pas à priori les possibilités du bien.
- Mauvais emploi : lorsque les contraintes dépassent les possibilités du bien.
- Défaillance première : la défaillance du bien n'est pas due à la défaillance d'un autre équipement.
- Défaillance seconde : la défaillance du bien est due à la défaillance d'un autre équipement.
- DEMANDEUR
Le compte UTILISATEUR peut réaliser l'ensemble des tâches quotidiennes sur le logiciel. Nous avons 12 comptes nommés GIM01 à GIM12 comme pseudo.
- Disponibilité
Aptitude d'un dispositif à être en état de d'accomplir une fonction requise dans des conditions données, à un instant donné pendant un intervalle de temps donné, en supposant que la fourniture des moyens extérieurs soit assurée (Définition norme X60-500). On l'exprime par la probabilité A(t). Lorsqu'on l'exprime de manière opérationnelle, on a
La disponibilité est en général la caractéristique prioritaire que recherche
- Dispositif non réparable
Un dispositif non réparable est mis en service à t=0, fonctionne pendant un certain temps que l'on appellera TTF ou Durée de Vie.
Ensuite, il est considéré comme "mort", ou mis "au rebut".
Si on considère pour un être humain que vivre le plus longtemps possible est la mission fixée, alors, nous allons étudier l'âge du décès comme référence temporelle, et l'être humain sera alors considéré comme un dispositif non réparable.
L'observation de ces TTF est vu d'un point de vue statistique par l'étude de la variable T : variable de "survie" ou "instant t de la défaillance"
- Durée de vie
Lorsque l'on procède à des observations, on utilise la notion de "Instant de la défaillance" ou encore Ttf : "Temps de (bon) fonctionnement avant la panne"
Ttf vient de Time to Fail.
Dans une étude statistique, elle est représentée souvent par la variable statistique ou aléatoire T
Elle est associée aux dispositifs non réparables.
Elle se décline en
durée de vie moyenne : MTTF ou Espérance mathématique E(T).
durée de vie nominale, notée L10 pour associer un niveau de confiance de 10% tel que R(t=L10)=0,9.
E-F
- Ecart de Performance (EP)
La notion de performance désigne les variations difficiles à percevoir ou à mesurer du temps de cycle de base (cadence nominale de la machine).
EP est donc l'écart de performance que l'on calcule par différence du temps brut de production (TB) et du temps net de production (TN)
- Entier
Integer
Nombre entier au sens mathématique.
Se décline principalement en :
entier signé I8, I16, I32 : positif ou négatif sur 8, 16 ou 32 bits
entier non signé U8, U16, U32 : positif sur 8, 16 ou 32 bits
I8 peut contenir des valeurs de -128 à 127, U8 de 0 à 255 (2^8-1)
Pour changer la représentation, cliquer droit sur le terminal, option représentation et choisir le type approprié.
En face avant, le commandes de type entier peuvent être représentées en Hexadécimal, en décimal ou en en binaire (clic droit.
- Fiabilité (Reliability)
Reliability, ag
- Fiabilité observée
Fiabilité Opérationnelle
Étude de N dispositifs non réparables sur un intervalle de temps fixe : on relève (observations) le ttf (durée de vie ou instant t de la défaillance) pour chaque dispositif.
Étude d'un seul dispositif réparable sur un intervalle de temps (TO ou TR) : on relève alors les tbf (temps de fonctionnement entre 2 défaillances) et les ttr (temps de réparation ou de remise à l'état spécifié). Dans ce cas on peut établir un graphe marche/arrêt.
Les techniques de statistiques descriptives permettent d'exploiter les observations.
La fiabilité R(t) est le rapport entre le nombre de missions réussies (nombre de ttf ou tbf supérieurs à t) sur le nombre de missions tentées (nombre de dispositifs étudiés à t=0 ou nombre de tbf)
- Fonction
Procédure
Une fonction ou une procédure permet d'effectuer des traitements parfois complexes ou répétitifs.
Une fonction ou une procédure est identifiée par un nom qui désigne au mieux la nature des traitements effectués.
Elle retourne ou renvoie un résultat unique qui dépend des arguments optionnels nécessaire à l'exécution du traitement.
Une procédure à la différence d'une fonction ne retourne pas de résultat.
Les fonctions dans le tableur peuvent être regroupées par thème : mathématiques, financières, statistiques, base de données.
- Fonctions Logique
Ces fonctions permettent d'exprimer une condition par des ET ou des OU.
Fonction ET : Renvoie VRAI si tous les arguments sont VRAI. Si l'un des éléments est FAUX, cette fonction renvoie la valeur FAUX.
Syntaxe : ET(valeur_logique1;valeur_logique2;...;valeur_logique30)
valeur_logique1;valeur_logique2;...;valeur_logique30 sont des conditions qui doivent être vérifiées. Toutes les conditions peuvent aussi bien être VRAI ou FAUX. Si une plage est saisie comme paramètre, la fonction utilise la valeur de la plage qui est dans la colonne ou la ligne active. Le résultat est VRAI si la valeur logique de toutes les cellules à l'intérieur la plage de cellules est VRAI.
Exemple : Pour vérifier si une valeur est dans l'intervalle 20-30, on aurait ET(A1>=20 ;A1<=30).
- Formule
Une formule est une expression, qui, lorsqu'elle est interprétée par le tableur, effectue un calcul soit interne, soit plus fréquemment en employant des valeurs présentes dans d'autres cellules.
Une formule effectue des calculs et doit toujours débuter par le signe =
Lorsque l'on souhaite prendre la valeur d'une cellule comme opérande, il suffit de saisir sa référence sous la forme suivante :
- lettre associée à la colonne : A, B, etc ....
- numéro de la ligne : 1, 2, 3, etc ....
G-M
- Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur
GMAO
Gestion des données techniques et économiques
Gestion du stock de pièces détachées
Suivi des interventions de maintenance
Planification de la Maintenance préventive
Analyse de l'historique
- Graphes
Diagramme
Un graphe permet de représenter graphiquement des données, de tracer l'évolution d'une grandeur en fonction d'une autre.
Différents types de graphe sont disponibles : courbes (simples ou nuages de points XY), diagramme en secteur (camembert), en bâton (histogramme)
Un graphe représente une ou plusieurs séries de données Y1, Y2 ... Yn en ordonnée
Les données en abscisse par défaut sont le rang de la valeur Y, soit 1, 2 ..... n.
Pour être plus parlant à la place du rang du point, on peut utiliser une série X qui contient un libellé explicite. Cette série X peut être composée de valeurs numériques ou alphanumériques.
Dans le cas de valeurs numériques, il faut être vigilant, car celles ci remplacent juste le rang du point, et ne sont donc pas mises à l'échelle.
Seul le graphe de type XY (nuage de point), permet une mise à l'échelle de la série X
- IDE
Integrated Development Environment (en français « environnement de développement »), est un logiciel qui rassemble des outils permettant de développer d'autres logiciels tels que des applications mobiles, des logiciels pour ordinateur ou consoles de jeux, des sites web, etc ; ainsi que de réaliser des librairies ou des frameworks, c'est-à-dire des morceaux de code qui pourront être sauvegardés et réutilisés dans d'autres programmes.
- Maintenance curative
Effectuée après la défaillance, elle a pour objectif de remettre en service un équipement.
- Le dépannage (Palliatif) va remettre provisoirement l'équipement en état de fonctionnement (minimiser l'arrêt de production)
- La réparation doit remettre l'équipement dans un état le plus proche possible de l'état initial d'utilisation.
- Méthode de PARETO
Graphe ABC, Loi des 80-20
L'analyse ABC a pour objectif de recenser les causes qui principalement génèrent le maximum d'effet.
L'effet mesuré va être exprimé par un critère numérique ou quantitatif (temps, coût, quantité).
Les causes sont regroupées en classes : Les classes (en abscisse) doivent apparaître dans l'ordre décroissant des valeurs du critère étudié.
La méthode consiste à représenter graphiquement le critère cumulé en fonction des classes.
N-R
- NB
La fonction compte le nombre de cellules contenant des valeurs numériques dans une plage.
Syntaxe : NB(
plage
)Elle est utile lorsqu'on nomme une plage de données qui sera complétée progressivement dans le temps, ou encore lorsque l'on veut s'assurer que l'on prenne bien en compte les cellules dans lesquelles des valeurs numériques sont saisies.
- NB.SI
Ajoute les cellules spécifiées par un critère donné.
Syntaxe : NB.SI (
plage
;critère
)
Plage
est la plage à laquelle les critères sont à appliquer.critère
correspond à la cellule dans laquelle s'affiche le critère de recherche, ou au critère lui-même. Si le critère est écrit dans la formule, il doit être délimité par des guillemets.
Exemple
- Pour connaître le nombre mots "ROUGE" dans la plage A1 :A10 : =NB.SI(A1:A10;"rouge")
- Pour compter les valeurs négatives de A1 :A10 : =NB.SI(A1:A10;"<0")
- Nom de cellule
Variable (abusif)
Un nom de cellule peut-être utilisé dans les formules à la place des références. Lambda est plus clair à lire que B12.
Une cellule assignée est considérée comme une référence absolue.
Pour assigner un nom à une cellule, activez la cellule ou sélectionnez une plage de cellule,
Menu.insertion.nom.définir
. Dans Excel, barre de recherche, tapez noms pour faire apparaître les options Définir un nom, Nommer une plage ou Gestionnaire de noms.Dans la fenêtre qui s'ouvre, vous pouvez saisir le nom choisi, validez la nouvelle assignation avec le bouton
Ajouter
.- Non-Qualité (NQ)
Désigne les pertes pour non qualité : c'est le temps passé à fabriquer des pièces défectueuses ou retouchées.
- Numérique Décimal
Real
Nombre réel au sens mathématique.
Se décline principalement en :
SGL : simple précision. 4 octets, 32 bits, 6 chiffres significatifs.
DBL : double précision. 8 octets, 64 bits, 15 chiffres significatifs.
Pour changer la représentation, cliquer droit sur le terminal, option représentation et choisir le type approprié.
- Référence de cellule
La référence relative de la cellule désignera les coordonnées de la cellule (B3 désigne la cellule de la colonne B à la ligne 3)
Une référence absolue utilise le $ devant la colonne ou la ligne pour ne pas modifier la colonne ou la ligne lors des copies vers la droite ou vers le bas.
Assigner un nom à une cellule revient à utiliser une référence absolue.
Pour atteindre une cellule dans une autre feuille du classeur : 'nom de la feuille'.refcellule (Feuille2.B4)
- RPi
Le Raspberry Pi est un nano-ordinateur monocarte à processeur ARM de la taille d'une carte de crédit conçu par des professeurs du département informatique de l'université de Cambridge dans le cadre de la fondation Raspberry Pi. Le Raspberry Pi fut créé afin de démocratiser l'accès aux ordinateurs et au digital making (terme anglophone désignant à la fois la capacité de résolution de problèmes et les compétences techniques et informatiques). Cette démocratisation est possible en raison du coût réduit du Raspberry Pi, mais aussi grâce aux logiciels libres. Le Raspberry Pi permet l'exécution de plusieurs variantes du système d'exploitation libre GNU/Linux, notamment Debian nommé PiOS depuis 2021, et des logiciels compatibles. Il fonctionne également avec le système d'exploitation Microsoft Windows : Windows 10 IoT Core6, Windows 10 on ARM (pour l'instant[Quand ?] relativement instable), celui de Google Android Pi7 et même une version de l'OS/MVT d'IBM accompagnée du système APL\3602.
S
- Scalaire
Un scalaire désigne 1 et 1 seule valeur, au contraire des structures de type tableau ou enregistrement (record ou cluster).
Une cellule du tableur est un scalaire (Il est identifié par la référence de la cellule) au contraire d'une plage de données qui sera vue comme un tableau.
- Série de données (Plage)
Plage
Les séries de données sont utilisées pour manipuler un ensemble de valeurs avec un seul nom pour les identifier.
Une plage de données peut-être manipulée dans son intégralité en utilisant certaines fonctions : SOMME, SOMMEPROD ou valeur par valeur : RACINE(MaPlage) retourne bien une valeur si dans l'ensemble des données de la plage nommée MaPlage 1 et une 1 seule valeur peut être trouvée sans ambiguité.
Si la plage comporte plusieurs lignes ou colonnes, c'est une matrice (eq Maths), sinon, c'est une série de données ou un vecteur (eq Maths)
- SI
Indique un test logique à effectuer
Syntaxe : SI(
test
;"alors_valeur";"sinon_valeur")test
représente toute valeur ou expression pouvant renvoyer VRAI ou FAUX.alors_valeur
(facultatif) est la valeur ou l'expression qui est renvoyée si le test logique est VRAI.sinon_valeur
(facultatif) est la valeur ou l'expression qui est renvoyée si le test logique est FAUX.
Exemple : =SI(A1>5;100;"trop petit") . Si la valeur en A1 est supérieure à 5, la valeur 100 est inscrite dans la cellule active ; sinon, le texte "trop petit" (sans guillemets) est inscrit.
Documentation OpenOffice.
- SOMME
Effectue la somme des valeurs spécifiées comme argument.
En B10, on souhaite calculer la somme des valeurs contenue dans la plage de cellule B2 à B9 --> =SOMME(B2 :B9)
La fonction attend au moins 1 argument (cellule ou plage) de type numérique --> =SOMME(B2:B7 ;C8 ;5) calculera la somme des valeurs contenues dans B2,B3,B4,B5,B6,B7, C8 et 5.
- SOMME.SI
Ajoute les cellules spécifiées dans une plage par un critère donné.
Syntaxe : SOMME.SI (
plage
;critère
;plage_de_somme
)Plage
est la plage à laquelle les critères sont à appliquer.critère
correspond à la cellule dans laquelle s'affiche le critère de recherche, ou au critère lui-même. Si le critère est écrit dans la formule, il doit être délimité par des guillemets.plage_de_somme
est la plage à partir de laquelle les valeurs sont additionnées. Si ce paramètre n'a pas été indiqué, les valeurs trouvées dansplage
sont additionnées.
Exemple
- Pour additionner uniquement les valeurs négatives de A1 :A10 : =SOMME.SI(A1:A10;"<0")
- =SOMME.SI(A1:A10;">0";B1:10) - additionne les valeurs de la plage B1:B10 seulement si les valeurs correspondantes dans la plage A1:A10 sont >0.
- SOMMEPROD
La fonction sommeprod remplace avantageusement une colonne intermédiaire pour effectuer la somme des produits de deux ou plusieurs colonnes.
Syntaxe : SOMMEPROD(plage1 ;plage2 ;plage3 ;....)
Soit 2 série des données X (x1,x2,x3) et Y (y1,y2,y3).
Si on utilise une colonne Z pour effectuer le produit X*Y, on aura Z(x1*y1,x2*y2,x3*y3). Une formule somme(Z) est donc nécessaire pour faire la somme de tous les produits.
SOMMEPROD(X,Y) remplace avantageusement l'opération du produit de chaque ligne (en économisant une colonne intermédiaire) et le cumul de tous les produits.
Exemple :
Les notes des étudiants se trouvent dans la plage A2 :A10,
les coefficients des notes dans la plage B2 :B10,
la moyenne sera obtenue par la formule =SOMMEPROD(A2 :A10 ;B2 :B10)/SOMME(B2 :B10)
- SOUS-TRAITANT
Un sous-traitant est une société au même titre qu'un fournisseur de pièces détachées ou d'équipement, qu'un constructeur de machine.
Un partenaire de type sous-traitant a un statut particulier car il peut être considéré comme ressource main d'oeuvre (MO) d'une intervention.
Une intervention sera donc réalisée en MO par un utilisateur Agent de maintenance de l'entreprise et/ou un sous-traitant.
Le sous-traitant pourra ainsi être destinataire de mail l'informant des tâches qu'il doit effectuer.
- SQL
SQL (sigle de Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à effectuer des opérations sur des bases de données. La partie langage de manipulation de données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données.
Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données (abrégé SGBD) du marché.
- Structure de données
Le scalaire : Donnée unique d'un certain type de données (numérique, chaîne, booléen).
Le tableau : Un ensemble de scalaires de même structure ou de même type de données. Il peut avoir plusieurs dimensions.
Le cluster (enregistrement ou record) : ensemble de données de structures et de types différents
La waveform : cluster spécifique à labview permettant d'associer un tableau de mesures espacées d'un pas dt constant. t0 est la date et l'heure de la première mesure.
T-Z
- Tableau (structure de données)
Série de données (tableur)
Les tableaux sont utilisés pour manipuler un ensemble de valeurs appelé élément avec un seul identifiant (nom de variable)
L'équivalent tableur est une plage de donnée.
Le tableau sera manipulé :
dans son ensemble (
nom_tableau[]
, comme calculer la moyenne de toutes les valeurs numériquesvaleur par valeur (
nom_tableau[4]
, il faut alors préciser l'indice de l'élément désigné.
Un tableau comporte 1 ou plusieurs dimensions (eq. Vecteur et Matrice en Maths)
La taille de chaque dimension précise le nombre d'éléments.
Un tableau ou une série de données dans le cas du tableur un ensemble de scalaires ou de cellules.
Dans labview, un tableau peut être un ensemble de cluster
nom_tableau[4]
est le 5 ième élément du tableau- Tableur
Un tableur (ou chiffrier électronique) est un logiciel permettant de manipuler des données numériques et d'effectuer automatiquement des calculs sur des nombres stockés dans un tableau. Il est ainsi possible d'automatiser des calculs complexes mettant en jeu un grand nombre de paramètres en créant des tableaux appelés feuilles de calcul.
De plus les tableurs permettent également de créer facilement des représentations graphiques à partir des données saisies :
- histogrammes
- courbes
- diagrammes à secteurs
...
Ainsi le tableur est un outil pouvant servir aussi bien pour des activités de secrétariat afin de saisir et d'organiser de nombreuses données, mais aussi à un niveau stratégique et décisionnel en permettant de créer des représentation graphiques synthétisant les informations.
- Taux Brut de fonctionnement (TxB)
C'est le rapport entre le Temps brut de fonctionnement (TB) et le Temps d'ouverture (TO).
Attention : Il tient compte de tous les arrêts imputables à la production, la maintenance (arrêts machines volontaires on non), la qualité (procédures ou contrôles) et leur logistique. Il ne faut surtout pas le confondre avec la disponibilité opérationnelle ou expérimentale (objectif maintenance)
- Taux de performance (TxP)
C'est le rapport entre le Temps net de fonctionnement (TN) et le Temps brut de fonctionnement (TB).
Il traduit en % les écarts de performance (non mesurables) ou les micro-arrêts (EP)
EP est non observable et ne peut qu'être calculé par TN-TB.
- Taux de Qualité (TxQ)
C'est le rapport entre le Temps utile nécessaire à la fabrication de pièces bonnes (TU) et le Temps net de fonctionnement (TN) pendant lequel on a fabriqué l'ensemble des pièces.
- Temps brut de fonctionnement (TB)
Le temps brut de fonctionnement est le temps d'ouverture moins les temps d'arrêt machine identifiés (AI)
- Temps d'arrêt machine pénalisant (TAM)
Le bien est inapte à produire (le bien est requis par la production sur le TO) pour cause de défaillance ou d'action de maintenance préventive nécessaire.
Ce temps est une source de perte et donc générateur de CDM.
Ce temps d'arrêt est imputable à la Maintenance, et on a (TAM<TA)
- Temps d'ouverture (TO)
Le temps d'ouverture est le temps théorique pendant lequel la machine aurait pu fonctionner ou aurait du produire
Ce temps théorique est à définir en fonction de l'efficacité que l'on souhaite mesurer par le TRG.
Selon l'efficacité recherchée, il faut bien distinguer les notions de Temps total ou encore de Temps Requis (TR).
- Temps Net de Fonctionnement (TN)
Le temps net de fonctionnement est le temps nécessaire à la fabrication des pièces à la cadence normale (respect du temps de cycle)
La machine donne l'impression de tourner. Cependant, elle peut ne pas respecter la cadence normale, suite à un écart de performance (Ralentissement de la machine) ou des micro-arrêts (pièces bloquées, ...).
Ces temps ne sont pas observables et donc NON MESURABLES et et sont identifiés par EP : Écart de performance
- Temps Utile (TU)
Le temps Utile est le temps pendant lequel la machine a fabriqué des pièces bonnes à la cadence normale.
A ne pas confondre avec l'ensemble des pièces fabriquées sur lesquelles on va se baser pour calculer le temps net.
Pour l'entreprise, le temps utile est le temps réellement nécessaire à la création de la valeur ajoutée sur le produit.
- TRG
Taux de rendement global ou Taux de rendement synthétique (Attention, c'est un ©Sigle déposé™). Indicateur intégré à démarche globale décrite par la TPM. On mesure ainsi un résultat obtenu et l'efficacité de tous les acteurs concernés par un objectif commun.
- TTF
De l'anglais Time to Fail, le TTF désigne le temps de fonctionnement théorique ou observé d'un dispositif non réparable.
Ce sont les valeurs possibles prises par la variable statistique T (elle caractérise l'instant t de la défaillance ou la durée de vie)
- tuple
enregistrement
Ce sont les lignes qui permettent d'énumérer les valeurs de chaque attribut. L'attribut Nom du premier tuple de la table personne a pour valeur "Dupont".
Certains logiciels utilisent le terme d'enregistrement.
- Type de données
Les objets sont affectées à un type de données :
- Numérique Entier (Entier court, Entier Long) ou Décimal (Réel simple, réel double)
- Texte ou chaîne de caractère
- Booléen (Vrai/Faux)
- Date (Format variable)
- Enumération fixe.
Chaque type est caractérisé par l'espace pris en mémoire : 1 entier long occupe 4 octets, 1 caractère occupe 1 Octet, 1 réel double occupe 8 octets.
Chaque langage utilise son propre jeu de type de données.
- UTILISATEUR
Le compte UTILISATEUR peut réaliser l'ensemble des tâches quotidiennes sur le logiciel. Nous avons 12 comptes nommés GIM01 à GIM12 qui sont des comptes génériques.
Ces comptes sont payants et ont des droits étendus, mais moindres que l'administrateur.
Le code Utilisateur d'un étudiant est construit selon le masque [A|B|C][N° Groupe de TP][Initiales][N° si Initiales multiples dans le même groupe].
Un étudiant en BUT GIM 2 groupe de TP3 nommé Jean LAPOINTE aura B3JL : il doit être unique.
- Variable
nom_variable
sera la notation qui désigne la variable d'une application.Une variable est définie par sa structure et son type de donnée (dans labview, on parle de représentation de données)